Avec nos amis on sème pour la vie !

Patrice de Colmont

Moins on s'éloigne de la nature, moins on se trompe.

Samer Zakharia

J'aime l'écologie souriante et pédagogue : elle est alors source de plaisir et de progrès. J'aime l'agriculture bio lorsque celle-ci est synonyme de proximité : quel luxe de pouvoir nommer et remercier celles et ceux qui nous nourrissent !

Xavier Deluc

L'effort de sélectionner les aliments cultivés de façon bio ne vient pas de moi mais de ma tendre épouse. Et grâce à elle, depuis plusieurs années, je ne cache pas mon plaisir de ce mieux vivre nutritionnel. De plus, savoir que ces cultures bio allègent notre terre de pesticides (véritables poisons) me satisfait totalement. Ainsi ça me fait participer à mon humble échelle à cette chaine humaine vers des lendemains plus sains. Pourvu que ça dure. Et ce, de mieux en mieux et de plus en plus nombreux vers une terre débarassée des produits toxiques sur nos aliments...

Annie Lemoine

Je vis à une époque où l’humanité prend enfin conscience de son inconscience écologique. La terre parle parce qu’elle n’en peut plus et, bonne nouvelle en un sens, nous ne pouvons plus ne pas l’écouter, question de survie. Maintenant, il s’agit d’organiser la solidarité, vaste et long programme, si excitant, qui mobilise les énergies d’hommes et femmes responsables… Quelle joie de sortir de l’ère de l’hyperconsommation ! L’Humain va se reconnecter. A lui-même !

Gerard Paganucci

Je ne fais jamais couler l'eau en permanence et je me fais disputer par la femme si je jette la nourriture.

Laurent Puons

Je fais très attention à ma consommation d’eau, du coup j’ai fait construire un bassin de 30 000 litres pour récupérer les eaux de pluie de la toiture de ma maison et des dépendances. J’ai également un potager où je cultive toutes sortes de légumes. Je fais aussi mon huile. Je trie les déchets, aidé par mon poulailler très efficace...

Miriam Lattugoni

Le respect de la nature et du vivant !

Sylvain Ordureau

Un litre de jus d’orange (pur jus) en bouteille = 2 litres d’eau polluée…

Rémy Romain

Dans le lycée où j'enseigne la philosophie avec mes élèves nous avons fabriqué un grand compost avec les restes et les déchets de la cantine, qui sert au potager que nous avons créé.

Odile Marcel

Au moment de le jeter, Je suis capable de rouvrir mon sac poubelle pour retrier les déchets et Le bout de carton finira bien dans la poubelle jaune. #cap #pascap...
DEVENEZ NOTRE AMI(E) ?
Laissez-nous votre témoignage,
il sera publié sur notre mur...
Partagez :
Blog

Mon ami Hervé Leclerc, papa de Charles, le talentueux pilote de F1

En ce moment, le soir, je m’endors avec un documentaire sur les F1. C’est assez mal réalisé avec un montage d’images coupées très rapidement et une musique hystérique afin de créer du sensationnel, alors que ce monde de la vitesse est suffisamment sensationnel à lui tout seul, inutile d’en rajouter. Mais ce que j’adore, ce sont les interviews de ces jeunes pilotes qui, pour certains, comme Charles Leclerc ou Esteban Ocon, ont démarré en F1 a, à peine, 20 ans, ce sont mes deux chouchous. Esteban parce qu’il a un bon état d’esprit, et Charles parce que je connaissais son papa, Hervé.

Léo Lacroix et mon père Pierre Bourgeois aux Ménuires

J’ai 12 ans. J’habite à Besançon. Je suis en 6ème à Notre-Dame. Je déteste Besançon. Je déteste Notre-Dame. Je déteste l’école. Je déteste la demi-pension. Je déteste les blouses en nylon que nous avons l’obligation de porter. Le nylon me donne des frissons. Je le dis à ma mère et lui montre les poils de mes avant-bras qui se hérissent dès que le nylon crisse. Ma mère montre mes avant-bras à la directrice afin que celle-ci lui donne l’autorisation de m’acheter une blouse en coton. Ma mère m’a inscrite à la demi-pension car je ne mange rien à la maison. À la cantine, c’est pareil, je ne mange rien, sauf qu’elle ne le voit pas. Elle me dit que c’est éreintant qu’à chaque repas je ne mange rien, d’autant que le mot anorexie n’existe pas encore. Je suis toute petite et toute maigre. Pascale Baudouin m’appelle Petit bout. Je déteste. Heureusement, je suis meilleure qu’elle au baby-foot où nous avons le droit de jouer après le déjeuner Il n’y a que le vendredi où je mange bien à la cantine car c’est le jour des frites. Frites et poisson. Je ne mange que les frites. Dès que je rentre de l’école, à 5 heures, je me prépare un goûter avec des crêpes, du chocolat chaud et des tartines de pain beurrées avec du miel ou de la confiture rouge. Encore aujourd’hui c’est mon repas préféré. J’adore. C’est d’un grand réconfort.

Léo Lacroix, Mon père Pierre Bourgeois, Les Ménuires, une semaine au ski

Ma rencontre avec Jean-Jacques Goldman en 1993

Nous sommes en 1993. De Jean-Jacques Goldman, je ne connais aucune chanson. Je n’ai jamais écouté de variétés françaises. Ce qui me causait bien des soucis, à la petite école, pendant la récré, quand les filles me demandaient quel était mon chanteur préféré, elles étaient toutes amoureuses de Claude François ou de Johnny Hallyday, tandis que moi d’aucun, et surtout pas de Johnny Hallyday qui me cassait les oreilles lorsque mon frère Hervé, plus âgé que moi, montait sur le rebord de la fenêtre de la salle à manger et avec un micro branché sur la chaîne de nos parents, sur laquelle ma mère n’écoutait que de la musique classique, hurlait en chantant faux Que je t’aime, que je t’aime, j’étais obligée de l’écouter et de l’applaudir. Mais un lundi matin, décidée d’entamer un lien social avec mes petites camarades, je leur ai dit que j’aimais bien Gérard Lenormand, le samedi, mes parents étaient sortis dîner chez des amis, j’avais regardé une émission à la télévision où Gérard Lenormand avait chanté La Balade des gens heureux. Mais ce genre de conversation n’a pas duré, je m’en foutais totalement de leurs stars, je préférais sauter à la corde, ce qui me vaudra la jalousie de deux fillettes qui, énervées que je gagne toujours, ont essayé de me tuer en me passant la corde autour du cou et en tirant chacune d’un côté de toutes leurs forces.