Avec nos amis on sème pour la vie !

Max Bourgeois

Une prise de conscience devra être l'événement majeur de ce siècle. La puissance technologique acquise sur la Nature ne doit plus être destructive. Nous lui devons du respect pour agir envers elle comme un bon maître qui n'abuse pas de sa capacité de puissance. Elle continuera ainsi à nous servir et nous nourrir.

Danielle Mitelmann

Clamer “on s’aime pour la vie” est très aléatoire et inconséquent. Mais “on sème pour la vie” devrait nous coller à la peau jusqu’au bout et même au-delà, au travers d’une transmission de petites et immenses graines à semer et à récolter.

Marina Varan

Maman, née en 1907, était révoltée par le gâchis des sacs. Elle avait toujours gardé ceux en kraft pour faire avec son marché. À la campagne, il n’y avait pas de poubelles et on n’était pas plus sale pour autant, les épluchures partaient au compost et on brûlait le reste.

Jocelyne Lemaitre

Ce qui me ronge le plus, c'est les détritus trouvés sur nos plages ainsi je rêve de voir les personnes ramener avec eux un "seul" objet du genre plastique, mégot, papier, pour que ceux-ci ne partent pas à la mer... Petit geste qui peut devenir une belle chaîne.

Angèle 

Mangez de la soupe d’ortie blanche, c’est un antioxydant puissant et efficace contre les rhumatismes.

Dominique Glocheux

Chacun de nous peut aider à sauver cette planète, et chacun de nos gestes compte, chacune de nos décisions même en apparence anodine est utile.

Patricia Clergerie

Il n y a Pas de petits gestes quand on est 60 millions à les faire.

Eva Planas Marino

Petite, je cueillais les fruits des arbres, les légumes du potager. Au Brésil, une flore luxuriante renaît sur du sable grâce à la biodiversité. Comme plein d'autres, je me suis dit que la nature sait bien faire les choses, pourquoi pas alors profiter de cette richesse pour transformer nos champs à son image et retrouver les goûts. les saveurs sur nos assiettes !

Evelyne Tissier

L'écologie mon présent
et notre futur

Patrick Frère

Il est temps de choisir entre la survie de notre écosystème ou la disparition du vivant. Prendre conscience que la disparition des baleines et des requins entrainera probablement la nôtre.
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il sera publié sur notre mur...
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Mon ami Hervé Leclerc, papa de Charles, le talentueux pilote de F1

En ce moment, le soir, je m’endors avec un documentaire sur les F1. C’est assez mal réalisé avec un montage d’images coupées très rapidement et une musique hystérique afin de créer du sensationnel, alors que ce monde de la vitesse est suffisamment sensationnel à lui tout seul, inutile d’en rajouter. Mais ce que j’adore, ce sont les interviews de ces jeunes pilotes qui, pour certains, comme Charles Leclerc ou Esteban Ocon, ont démarré en F1 a, à peine, 20 ans, ce sont mes deux chouchous. Esteban parce qu’il a un bon état d’esprit, et Charles parce que je connaissais son papa, Hervé.

Léo Lacroix et mon père Pierre Bourgeois aux Ménuires

J’ai 12 ans. J’habite à Besançon. Je suis en 6ème à Notre-Dame. Je déteste Besançon. Je déteste Notre-Dame. Je déteste l’école. Je déteste la demi-pension. Je déteste les blouses en nylon que nous avons l’obligation de porter. Le nylon me donne des frissons. Je le dis à ma mère et lui montre les poils de mes avant-bras qui se hérissent dès que le nylon crisse. Ma mère montre mes avant-bras à la directrice afin que celle-ci lui donne l’autorisation de m’acheter une blouse en coton. Ma mère m’a inscrite à la demi-pension car je ne mange rien à la maison. À la cantine, c’est pareil, je ne mange rien, sauf qu’elle ne le voit pas. Elle me dit que c’est éreintant qu’à chaque repas je ne mange rien, d’autant que le mot anorexie n’existe pas encore. Je suis toute petite et toute maigre. Pascale Baudouin m’appelle Petit bout. Je déteste. Heureusement, je suis meilleure qu’elle au baby-foot où nous avons le droit de jouer après le déjeuner Il n’y a que le vendredi où je mange bien à la cantine car c’est le jour des frites. Frites et poisson. Je ne mange que les frites. Dès que je rentre de l’école, à 5 heures, je me prépare un goûter avec des crêpes, du chocolat chaud et des tartines de pain beurrées avec du miel ou de la confiture rouge. Encore aujourd’hui c’est mon repas préféré. J’adore. C’est d’un grand réconfort.

Léo Lacroix, Mon père Pierre Bourgeois, Les Ménuires, une semaine au ski

Ma rencontre avec Jean-Jacques Goldman en 1993

Nous sommes en 1993. De Jean-Jacques Goldman, je ne connais aucune chanson. Je n’ai jamais écouté de variétés françaises. Ce qui me causait bien des soucis, à la petite école, pendant la récré, quand les filles me demandaient quel était mon chanteur préféré, elles étaient toutes amoureuses de Claude François ou de Johnny Hallyday, tandis que moi d’aucun, et surtout pas de Johnny Hallyday qui me cassait les oreilles lorsque mon frère Hervé, plus âgé que moi, montait sur le rebord de la fenêtre de la salle à manger et avec un micro branché sur la chaîne de nos parents, sur laquelle ma mère n’écoutait que de la musique classique, hurlait en chantant faux Que je t’aime, que je t’aime, j’étais obligée de l’écouter et de l’applaudir. Mais un lundi matin, décidée d’entamer un lien social avec mes petites camarades, je leur ai dit que j’aimais bien Gérard Lenormand, le samedi, mes parents étaient sortis dîner chez des amis, j’avais regardé une émission à la télévision où Gérard Lenormand avait chanté La Balade des gens heureux. Mais ce genre de conversation n’a pas duré, je m’en foutais totalement de leurs stars, je préférais sauter à la corde, ce qui me vaudra la jalousie de deux fillettes qui, énervées que je gagne toujours, ont essayé de me tuer en me passant la corde autour du cou et en tirant chacune d’un côté de toutes leurs forces.