Avec nos amis on sème pour la vie !

Laure Michel

J'ai pour principe de ne jamais jeter la nourriture.

Alexandre Durand-Viel

Sylvie Burnet

Avoir un mode de vie sain et être en bonne santé passe avant tout par l'alimentation, ce qui permet d'être physiquement et mentalement à notre maximum. C'est pour cela que le bio fait partie intégrante de mon quotidien. En plus d'être bon pour moi, il a de multiples autres avantages. A commencer par l'impact positif qu'il a sur l'environnement. Réduire ma consommation de produits animaliers a été comme une évidence quand j'ai découvert toutes les gravités causées par celle-ci. L’extrême cruauté infligée à ces animaux et la destruction massive des terres pour produire ces aliments.

Guillaume Turin

Je profite de toutes les occasions que mon enfant de 8 ans me donne pour lui expliquer les gestes simples du quotidien qui doivent faire de nous des citoyens exemplaires (économisez l’eau, l’électricité, ne pas gâchez ni jetez). Je suis très attaché aussi à la nourriture Bio et ce depuis une quinzaine d’année. Cela me semble être le minimum que je puisse faire pour moi et pour notre planète.

Charles Cravenne

Être attentif à l’écologie c’est être responsable, c’est s’impliquer pour notre FUTUR.

Laurent Clerget

J'ai essayé les paniers des Amap mais c'était trop volumineux pour deux. Après je les ai partagés avec un autre couple mais j'ai fini par en avoir marre de finir ma semaine en mangeant des topinambours. J'aimerais que les propositions en bio soient plus adaptées à la vie citadine et aussi à ma gourmandise qui allie autant le côté pratique que visuel. Du coup j'avoue que je craque plus sur les rayons de Marks and Spencer que sur ceux des magasins bios qui pourtant sont meilleurs pour ma santé.

Laura Donat

Bella Lebeque

Chaque jour, à chaque instant, notre bien-être est étroitement lié à celui de notre belle Planète. Aujourd'hui, demain, avec modestie et détermination, veillons au bien-être de notre Planète. Nous lui devons chaque instant de notre vie.

David Stone

Mon métier d'illusionniste me permet, toutes proportions gardées, de remettre en question le rapport de mon public face à la réalité. En ayant grandi avec l'idée que l'écologie est une remise en question de l'homme face à la nature, il est enrichissant pour moi de concilier les deux à travers ce projet.

Sylvie Moyroud

Depuis toujours, je suis inspirée par tout ce qui rend notre monde "meilleur"; je cherche à rendre le mien le plus équitable possible, et que ce soit dans ma vie privée ou professionnelle, je fais en sorte que "l'humain" soit respecté, au même titre que l'environnement dans lequel il évolue. RESPECT et EMPATHIE font partie de mes "maîtres mots
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Mon ami Hervé Leclerc, papa de Charles, le talentueux pilote de F1

En ce moment, le soir, je m’endors avec un documentaire sur les F1. C’est assez mal réalisé avec un montage d’images coupées très rapidement et une musique hystérique afin de créer du sensationnel, alors que ce monde de la vitesse est suffisamment sensationnel à lui tout seul, inutile d’en rajouter. Mais ce que j’adore, ce sont les interviews de ces jeunes pilotes qui, pour certains, comme Charles Leclerc ou Esteban Ocon, ont démarré en F1 a, à peine, 20 ans, ce sont mes deux chouchous. Esteban parce qu’il a un bon état d’esprit, et Charles parce que je connaissais son papa, Hervé.

Léo Lacroix et mon père Pierre Bourgeois aux Ménuires

J’ai 12 ans. J’habite à Besançon. Je suis en 6ème à Notre-Dame. Je déteste Besançon. Je déteste Notre-Dame. Je déteste l’école. Je déteste la demi-pension. Je déteste les blouses en nylon que nous avons l’obligation de porter. Le nylon me donne des frissons. Je le dis à ma mère et lui montre les poils de mes avant-bras qui se hérissent dès que le nylon crisse. Ma mère montre mes avant-bras à la directrice afin que celle-ci lui donne l’autorisation de m’acheter une blouse en coton. Ma mère m’a inscrite à la demi-pension car je ne mange rien à la maison. À la cantine, c’est pareil, je ne mange rien, sauf qu’elle ne le voit pas. Elle me dit que c’est éreintant qu’à chaque repas je ne mange rien, d’autant que le mot anorexie n’existe pas encore. Je suis toute petite et toute maigre. Pascale Baudouin m’appelle Petit bout. Je déteste. Heureusement, je suis meilleure qu’elle au baby-foot où nous avons le droit de jouer après le déjeuner Il n’y a que le vendredi où je mange bien à la cantine car c’est le jour des frites. Frites et poisson. Je ne mange que les frites. Dès que je rentre de l’école, à 5 heures, je me prépare un goûter avec des crêpes, du chocolat chaud et des tartines de pain beurrées avec du miel ou de la confiture rouge. Encore aujourd’hui c’est mon repas préféré. J’adore. C’est d’un grand réconfort.

Léo Lacroix, Mon père Pierre Bourgeois, Les Ménuires, une semaine au ski

Ma rencontre avec Jean-Jacques Goldman en 1993

Nous sommes en 1993. De Jean-Jacques Goldman, je ne connais aucune chanson. Je n’ai jamais écouté de variétés françaises. Ce qui me causait bien des soucis, à la petite école, pendant la récré, quand les filles me demandaient quel était mon chanteur préféré, elles étaient toutes amoureuses de Claude François ou de Johnny Hallyday, tandis que moi d’aucun, et surtout pas de Johnny Hallyday qui me cassait les oreilles lorsque mon frère Hervé, plus âgé que moi, montait sur le rebord de la fenêtre de la salle à manger et avec un micro branché sur la chaîne de nos parents, sur laquelle ma mère n’écoutait que de la musique classique, hurlait en chantant faux Que je t’aime, que je t’aime, j’étais obligée de l’écouter et de l’applaudir. Mais un lundi matin, décidée d’entamer un lien social avec mes petites camarades, je leur ai dit que j’aimais bien Gérard Lenormand, le samedi, mes parents étaient sortis dîner chez des amis, j’avais regardé une émission à la télévision où Gérard Lenormand avait chanté La Balade des gens heureux. Mais ce genre de conversation n’a pas duré, je m’en foutais totalement de leurs stars, je préférais sauter à la corde, ce qui me vaudra la jalousie de deux fillettes qui, énervées que je gagne toujours, ont essayé de me tuer en me passant la corde autour du cou et en tirant chacune d’un côté de toutes leurs forces.