Les brèves de Marcelline

Marcelline est une aubergine pas comme les autres. Elle a ses problèmes, ses joies, ses doutes, ses questionnements, ses plaisirs, ses contrariétés, son amour infini pour son casanier de Gaston qu’elle adore car il est le seul qui sache la faire rire autant, qu’elle a décidé de nous confier au gré de ses humeurs dans des vidéos très courtes, sortes de petits croquis qu’elle meurt d’envie de raconter en permanence à son amie Sylvie.

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Marcelline et Sylvie applaudissent le corps médical

Chien expert en dunes à Ramatuelle

Dunes, grues et ganivelles sur la plage de Pampelonne, à Ramatuelle

Marcelline écrit à Christophe Castaner sur la cellule nationale Demeter

Marcelline tracte au marché bio Raspail

Marcelline au Repair Café du Marché bio-zéro déchet de Grimaud

Garou, Bertignac et Marcelline au Manko le Club

Marcelline et Thomas Brail sur son platane perché

Marcelline à l’été littéraire des Deux Magots

Marcelline au bal masqué de Lapérouse

Marcelline au défilé Over Fifty de Nathalie Garçon

Marcelline et les Calopsittes, perruches d’Australie

Marcelline et les Dess(e)ins Nature de Chaumet

Marcelline à la galerie Géraldine Banier

Marcelline et Notre-Dame de Paris

Marcelline et la Campagne Glyphosate

Le réchauffement climatique selon Marcelline

Marcelline et le parti animaliste

Marcelline et les nichoirs du château de La Mole

Marcelline et Sylvie se préparent pour le Salon du Livre de Monaco

Un samedi à Paris avec Marcelline

Marcelline au Prix des Deux Magots 2019

Marcelline en marche avec les Gilets jaunes, acte 10

Marcelline et Denis Robert chez Kisskissbankbank

Marcelline et les Gilets jaunes

Marcelline au Salon d’Automne 2018 de Paris

Marcelline au Prix Double Dôme

Marcelline dirige Sylvie dans Un adultère de Philippe Harel

Marcelline s’entraîne pour Les Voiles de Saint-Tropez 2018

Marcelline et les moutons pare-feu

Marcelline surveille son potager parisien

Marcelline agrandit son potager parisien

Marcelline et son potager parisien

Joyeux Anniversaire Sylvie !

Sylvie tire les cartes à Marcelline

Marcelline et la banane

Marcelline prépare son exposition 100 photos très nature

Joyeux Anniversaire Marcelline !

Marcelline donne les noms des gagnants de son grand jeu-concours

Marcelline fait laver sa Bluesummer par Bio & Wash

Marcelline et les ombres chinoises

Valérie Lemercier chante pour Marcelline à la SACD, au prix Henri Jeanson

Marcelline au Prix Castel du Roman de la Nuit 2018

Marcelline passe à l’heure d’été

Le chat et le soleil de Maurice Carême, dit par Marcelline

Marcelline à l’exposition de Marc Cerrone aux Deux Magots

Marcelline à la nouvelle librairie Le Piéton de Paris

Marcelline chante Polnareff

Marcelline, une Parisienne sous la neige

Marcelline fait des crêpes

Marcelline chante avec Roxane Arnal

Marcelline fait des farces

Marcelline fait un soin

Marcelline et Roberte la biquette

Marcelline découvre une ancienne photo de Sylvie

Bonne année 2018 !

Marcelline sous la magie de David Stone

Marcelline fait le pendule à Nounours

On a tous en nous quelque chose de Marcelline

Marcelline fait tomber la neige

Bravo ! La magie celte a opéré pour la première neige de Marcelline.

Marcelline au petit coin

Quand Gaston ne laisse jamais une minute d’intimité à Marcelline…

Marcelline prend son bain

Comme nous toutes, Marcelline aimerait que son amoureux Gaston la rejoigne dans son bain…

Marcelline bébé

Oui, avant d’être une aubergine adulte et responsable, Marcelline a été un joli bébé qui a fait la fierté de ses parents…

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Mon ami Hervé Leclerc, papa de Charles, le talentueux pilote de F1

En ce moment, le soir, je m’endors avec un documentaire sur les F1. C’est assez mal réalisé avec un montage d’images coupées très rapidement et une musique hystérique afin de créer du sensationnel, alors que ce monde de la vitesse est suffisamment sensationnel à lui tout seul, inutile d’en rajouter. Mais ce que j’adore, ce sont les interviews de ces jeunes pilotes qui, pour certains, comme Charles Leclerc ou Esteban Ocon, ont démarré en F1 a, à peine, 20 ans, ce sont mes deux chouchous. Esteban parce qu’il a un bon état d’esprit, et Charles parce que je connaissais son papa, Hervé.

Léo Lacroix et mon père Pierre Bourgeois aux Ménuires

J’ai 12 ans. J’habite à Besançon. Je suis en 6ème à Notre-Dame. Je déteste Besançon. Je déteste Notre-Dame. Je déteste l’école. Je déteste la demi-pension. Je déteste les blouses en nylon que nous avons l’obligation de porter. Le nylon me donne des frissons. Je le dis à ma mère et lui montre les poils de mes avant-bras qui se hérissent dès que le nylon crisse. Ma mère montre mes avant-bras à la directrice afin que celle-ci lui donne l’autorisation de m’acheter une blouse en coton. Ma mère m’a inscrite à la demi-pension car je ne mange rien à la maison. À la cantine, c’est pareil, je ne mange rien, sauf qu’elle ne le voit pas. Elle me dit que c’est éreintant qu’à chaque repas je ne mange rien, d’autant que le mot anorexie n’existe pas encore. Je suis toute petite et toute maigre. Pascale Baudouin m’appelle Petit bout. Je déteste. Heureusement, je suis meilleure qu’elle au baby-foot où nous avons le droit de jouer après le déjeuner Il n’y a que le vendredi où je mange bien à la cantine car c’est le jour des frites. Frites et poisson. Je ne mange que les frites. Dès que je rentre de l’école, à 5 heures, je me prépare un goûter avec des crêpes, du chocolat chaud et des tartines de pain beurrées avec du miel ou de la confiture rouge. Encore aujourd’hui c’est mon repas préféré. J’adore. C’est d’un grand réconfort.

Léo Lacroix, Mon père Pierre Bourgeois, Les Ménuires, une semaine au ski

Ma rencontre avec Jean-Jacques Goldman en 1993

Nous sommes en 1993. De Jean-Jacques Goldman, je ne connais aucune chanson. Je n’ai jamais écouté de variétés françaises. Ce qui me causait bien des soucis, à la petite école, pendant la récré, quand les filles me demandaient quel était mon chanteur préféré, elles étaient toutes amoureuses de Claude François ou de Johnny Hallyday, tandis que moi d’aucun, et surtout pas de Johnny Hallyday qui me cassait les oreilles lorsque mon frère Hervé, plus âgé que moi, montait sur le rebord de la fenêtre de la salle à manger et avec un micro branché sur la chaîne de nos parents, sur laquelle ma mère n’écoutait que de la musique classique, hurlait en chantant faux Que je t’aime, que je t’aime, j’étais obligée de l’écouter et de l’applaudir. Mais un lundi matin, décidée d’entamer un lien social avec mes petites camarades, je leur ai dit que j’aimais bien Gérard Lenormand, le samedi, mes parents étaient sortis dîner chez des amis, j’avais regardé une émission à la télévision où Gérard Lenormand avait chanté La Balade des gens heureux. Mais ce genre de conversation n’a pas duré, je m’en foutais totalement de leurs stars, je préférais sauter à la corde, ce qui me vaudra la jalousie de deux fillettes qui, énervées que je gagne toujours, ont essayé de me tuer en me passant la corde autour du cou et en tirant chacune d’un côté de toutes leurs forces.